LOUP DE MON COEUR

LOUP DE MON COEUR

Charente-Maritime : le loup en fuite a été abattu 11 12 2020

 

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La préfecture confirme qu’il s’agit bien de l’animal qui s’était échappé du Sanctuaire des loups, dans les Deux-Sèvres, il y a environ un mois. 

C’est la fin d’une traque qui aura duré un mois. Ce vendredi 11 décembre, les agents de l’Office français de la biodiversité (OFB) ont dû effectuer un tir létal sur un loup, qui était présent dans le département depuis près de quatre semaines, indique la préfecture de la Charente-Maritime.

Le numéro de puce a permis de confirmer qu’il s’agissait bien d’un des trois loups échappés du refuge le Sanctuaire des loups, situé à  Frontenay Rohan-Rohan, dans les Deux-Sèvres, le 13 novembre. Trois jours plus tard, l’un d’eux était tué, percuté par une voiture sur une route de Saint-Georges-du-Bois, près de Surgères. Le troisième loup, qui tourne autour du sanctuaire, n’a toujours pas été capturé.

 

"Après avoir été localisé sur la commune de Courçon ce vendredi soir et devant l’impossibilité de l’approcher afin d’effectuer une capture par téléanesthésie, il a été procédé au tir de l’animal", précisent les services de l’Etat.

 

Le 4 décembre dernier, le préfet Nicolas Basselier avait autorisé par arrêté préfectoral le tir létal considérant que “ce loup représenterait “un risque sérieux” pour la sécurité des animaux domestiques et des élevages ovins et du fait de chiens errants dans le secteur, “le risque d’hybridation […] pourrait porter atteinte à la biodiversité”.

 

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Une conclusion dénoncée par les défenseurs du loup

Une conclusion dénoncée par les défenseurs du loup et les associations de défense de l’environnement telle que Nature Environnement 17. “Nous ne pouvons pas ignorer les dégâts dans les élevages et l’indemnisation des animaux tués qui ne compensera pas les dégâts subit par les éleveurs. Mais l’urgence est de mettre en œuvre les moyens pour “récupérer” ce loup et laisser du temps aux équipes qui sont sur le terrain. Il n’y a plus aucune tolérance face à la prédation par une espèce sauvage alors que les activités humaines ont confisqué et détruits leurs habitats. Il ne s’agit là que d’un loup échappé d’un refuge mais que se passera-t-il si des loups arrivent réellement sur notre territoire ?”.

 

Un loup encore vivant

Sur les trois loups échappés du refuge,  il n’en reste plus qu’un encore dans la nature. En effet, le 16 novembre dernier un premier loup avait été percuté et tué par un véhicule près de Surgères.

Du côté des élevages, chez trois éleveurs différents, 18 brebis ont été tuées, 14 autres blessées et six ont disparu. Trois attaques de troupeaux sur le département imputées à un même loup “selon les analyses réalisées”, indiquait la préfecture le 4 décembre dernier.

 

C'est impossible que le loup se soit attaquer aux brebis, il ne sait pas chasser, c'est l'homme qui lui donnait à manger.. Le loup a bon dos.......

 

Le loup s"appelait "PAPILLON" c' est le sanctuaire qui l'avait appelé comme ca vu qu'il sait évader.

 

Bande d'enfoirer, assassins, je haie la race humaines... Yolande

 

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12/12/2020
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